20 novembre 2002 – La Clinique Vauban, alors confrontée à d’importantes difficultés économiques, obtient un sursis temporaire grâce à la mobilisation du personnel, à l’attention de la mairie, et à l’ouverture d’un dialogue avec la préfecture. Une réunion de dernière chance permet d’éviter la fermeture immédiate.
| Date de publication | 20 novembre 2002 |
| Source | Le Parisien – Édition 93 |
| Auteur | Rédaction locale |
| Thèmes | Mobilisation, Risque de fermeture, Dialogue institutionnel |
| Acteurs cités | Alain Calmat (maire), personnel soignant, direction, sous-préfecture du Raincy |
| Type de source | Presse locale, reportage de terrain |
Résumé
L’article du Parisien relate qu’en novembre 2002, la Clinique Vauban de Livry-Gargan échappe de peu à la fermeture. Après des semaines d’angoisse parmi les salariés, une réunion à la sous-préfecture de Le Raincy permet d’ouvrir une voie de dialogue entre les représentants du personnel, la direction, la municipalité et les services de l’État.
La clinique, en grande difficulté, avait accumulé des retards de paiement et faisait face à une désorganisation interne inquiétante. Les salariés réclament davantage de transparence et de garanties sur l’avenir. La mairie de Livry-Gargan, représentée par le maire Alain Calmat, s’implique directement pour défendre l’offre de soins dans la commune.

