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31 décembre 2003 – Alors que la Clinique Vauban de Livry-Gargan est en redressement judiciaire, le tribunal de commerce doit désigner officiellement son repreneur. Deux offres sont en lice, l’une portée par un fonds d’investissement, l’autre par une structure déjà implantée dans le secteur de la santé.

Résumé

L’article du Parisien annonce qu’une décision de justice est attendue le 31 décembre 2003 concernant la reprise de la Clinique Vauban, alors en situation de redressement judiciaire. Cette décision intervient après une procédure engagée plusieurs mois plus tôt. Deux dossiers de reprise sont étudiés par le tribunal de commerce de Bobigny.

L’enjeu dépasse la seule Clinique Vauban, puisqu’il s’agit aussi de statuer sur l’avenir d’autres établissements gérés par la même entité. À Livry-Gargan, le personnel attend avec anxiété cette décision, qui déterminera le sort de plusieurs dizaines d’emplois et la continuité des soins pour les habitants.

20 novembre 2002 – La Clinique Vauban, alors confrontée à d’importantes difficultés économiques, obtient un sursis temporaire grâce à la mobilisation du personnel, à l’attention de la mairie, et à l’ouverture d’un dialogue avec la préfecture. Une réunion de dernière chance permet d’éviter la fermeture immédiate.

Résumé

L’article du Parisien relate qu’en novembre 2002, la Clinique Vauban de Livry-Gargan échappe de peu à la fermeture. Après des semaines d’angoisse parmi les salariés, une réunion à la sous-préfecture de Le Raincy permet d’ouvrir une voie de dialogue entre les représentants du personnel, la direction, la municipalité et les services de l’État.

La clinique, en grande difficulté, avait accumulé des retards de paiement et faisait face à une désorganisation interne inquiétante. Les salariés réclament davantage de transparence et de garanties sur l’avenir. La mairie de Livry-Gargan, représentée par le maire Alain Calmat, s’implique directement pour défendre l’offre de soins dans la commune.

8 novembre 2002 – La Clinique Vauban de Livry-Gargan est menacée de fermeture. Le personnel et des élus locaux se mobilisent pour alerter l’opinion et tenter de sauver l’établissement, considéré comme indispensable à l’offre de soins du territoire. Une pétition est lancée.

Résumé

Dans cet article, Le Parisien rapporte la mobilisation croissante autour de la Clinique Vauban, alors en grande difficulté. Le personnel alerte sur le risque imminent de fermeture, faute de moyens financiers et d’un soutien structurel. Une pétition circule, soutenue par les salariés, les syndicats et certains élus municipaux.

La crainte porte sur la disparition d’un service de santé essentiel dans une commune où l’hôpital public le plus proche est à plusieurs kilomètres. La direction, jugée trop silencieuse, est critiquée pour son manque de communication. Les salariés réclament plus de transparence sur l’état réel de l’établissement et sur ses perspectives de reprise.